HaloRP

Salut à tous !

                                           



                             

 \[ REFONTE DU PROJET EN COURS ]/

Un jour il reviendra. Sur Xbox ! :troll:

Que Halo soit avec vous ! Kiss <3 -HogInfinity-

Merci ^^
Ouaip j'ai taffé dessus et c'est loin d'être finis !
Maintenant pour vraiment concrétiser HaloRP il me manque.. Des gens qui veulent en faire partie ! XD

Je pense suivre le RP mais j'ai un problème avec le système d'xp... Je trouve celui d'Halo Reach bien, mais pour un RP je n'adhère pas du tout, au moins prendre pur grade maximum Légende. Le problème c'est que dans un RP il ne peu pas vraiment y avoir 5 générales qui combattent ensemble. De plus, je pense qu'un système d'xp en moins lors d'une défaite/suicide/tuer un allier pourrais être adapté pour plus de challenge.

Mais je soutient ton projet ainsi que participer. :)

Merci Shaez tout conseil est le bienvenu.
Le probleme avec l'xp c'est que je le calcul tout seul avec mes petites mains a la fin de chaque game, pour l'instant HaloRP est en "pré-alpha" donc tout peut etre changé.
Les futurs spécialisation sont prévu en fonction des grades donc par default d'avoir mieu je suis contrain de rester sur le même systeme que Halo Reach.
Si vous voulez participer merci de poster votre matricule et de m'envoyé une requête d'ami xboxlive.

Kiss !

Je vais être franc tu as très bien expliquer mais j'ai rien comprit mais vue les commentaire sa a l'aire bien

Tu donne un matricule, je t'inscrit sur la liste, tu joue avec moi, et tu level up. En resumé

J'adhère à ton projet qui m'a l'aire fort intéressant mais je ne peut jouer le jeu à cause des cours... Perso Je suis Lucas-144 ou Law-144.

Law-144, Ok je t'inscrit sur la liste. Manquera plus que tu me demande en ami.
Et idem pour moi la reprise des cours m'empeche de jouer en semaine

Je suis un Spartan III qui a dû s'échapper de Reach, mon existence est restée cachée pendant un certains temps, mais je suis réapparu pour aider les Spartan IV.
Je suis allé à l'académie de Reach, où j'étais plutot maladroit, mais je me suis repris et je suis devenu un bon Spartan, nécessaire a des assauts derrière les lignes ennemis, dans un style des ODST mais en plus compliqué. Je fais parti donc d'une troupe d'assaut oui.

Edit : Je vais prendre plutot ce qui viens d'une fanfic que je fais.

Je suis le soldat Aaron-A219

Perso, je vais utiliser mon Perso HaloFight.
Je ne vois pas trop comment tu pourrais gérer ça sans créer ton propre site et forum, mais tant que je n'ai pas vu... Bref, je précise que je suis un TCAO.

VOICI MA FICHE HALO FIGHT !!! BITCH !

Nom :
Michael Moralez

Matricule :
P09


Dossier sur l'interessé :
Description physique :
Les larmes ne coulaient plus sur le ferme visage de Michael. Un visage qui présentait autrefois tant de tendresse. Les cheveux de l’intéressé était assez long, et mal coiffés, en pétard, dirait-on même. Les lèvres gonflées par une cicatrice qu'il a récoltée au court d'un combat de couteau, il n'avait de cesse de se mordre la lèvre inférieure. Les yeux d'un vert plus profond et plus beau que celui d'une feuille de printemps, les cheveux d'un noir profond, le nez fin, Michael était le genre de gars à marquer sur son visage son appartenance aux favelas de la ville de Rio. Le torse musclé, puissant, les bras larges, les jambes sveltes, une carrure plutôt "marche ou crève", en somme. Il avait le torse recouvert de trace de coups de couteau, de cicatrices divers. Michael était assez grand, en effet, il mesurait environs un mètre quatre-vingt-dix. Les écritures RedSkin était clairement gravé au niveau de ses poignets, surement tattoué au fer rouge. Le cou n'étant pas épargné par ses nombreux tatouages, en effet, le mot Anarchie était inscrit en lettre ornée au niveau de sa pomme d'Adam, tandis qu'au niveau de son torse, il arborait un superbe tatouage Martin Luther King, fait main. Les mots Equality for Freedom venaient accompagner ledit tatouage, et son dos était entièrement recouvert par un gigantesque A de Anarchie. Il s'était également fait faire des morts aux vaches au niveau des mains. Quant à son armure, elle était toute simple. Elle était plutôt sombre, par rapport à sa spécialité, l'infiltration, la discrétion. Il maitrisait en effet le close quarter et le tir à distance. Il portait tout de même un emblème A encerclé. En dehors de tout ça, elle était assez sobre, et, quant à sa visière, à la différence des autres ODST, elle était d'un noir des plus sombres. Il portait un couteau de combat au torse, deux pistolets m6c à la taille, et un fusil M45 TS dans le dos, en cas de grosse bavure. Des chargeurs de m6c et des balles de fusils à pompes était attachés à sa ceinture. De nombreuses rayures se promenaient sur son armure, rayures qu’il avait lui-même tracé au couteau.

Armement :
Couteau de combat, m6c double maniement à silencieux, Et un fusil M45 TS.

Passé :
Michael pleurait, comme toutes les autres personnes dans la pièces. Ils frappaient des poings, et se débattaient pour se libérer, ils ne pouvaient plus bouger, après tant de mois dans cette prison, sans rien ne pouvoir faire d’autre. Ils ne connaissaient pas, mais se soutenaient mutuellement, même s’ils étaient incapables de se parler. Ils savaient qu’après, on les emmènerait en dehors de la salle blanche, là où ils deviendront non plus les prisonnier, mais seront de ceux qui les ont enfermés. Pour cela, ils subiront des années d’épreuves, d’apprentissage, et d’endoctrinement. On leurs montrera des images, des vidéos, on leur contera des histoires, et on leur donnera un rôle au sein de leurs nouvelles communautés. Et les rares de ceux –ci à choisir une autre voie, on les qualifiera de fous, de monstre. « Monsieur Moralez, par ici, je vous prie. » Et Michael était parti, dans les bras d’un homme, inconnu, qui restait étranger à ses supplications. « Chut, ça va allez. Je suis ton père, mon grand. On s’en va loin de cet Hôpital. »

Et celui qui portait alors le nom de Michael Moralez grandit dans une favela, et connut une enfance plutôt tranquille, au milieu de deux parents aimant qui essayaient de lui rendre la vie la plus facile possible, de toutes les manières possibles. Il apprit à se débrouiller tout seul, certains soir où ses parents allaient ensemble faire des affaires, plus ou moins légal. Dès l’âge de quatre ans, il était capable de tenir une arme, pour protéger la cahutte de ferraille et de bois dans laquelle il vivait avec ses parents. Un soir, lorsqu’il avait à peine six ans, sa mère rentra en pleurs, affolée, terrifié. Michael ne comprenait pas. « Maman, y’est où papa ? » Le silence de sa mère aurait été plus que révélateur pour un adulte averti. Mais l’insistance de l’enfant la poussa à répondre. « Y’est où Papa ! » le jeune garçon en avait les larmes aux yeux. « Il est parti. » Michael pleurait toutes les larmes de son corps, il hurlait, tapait des pieds, et laissa sa colère le dominer. Il sortit de la cahutte en courant, et appelait son père, en le cherchant partout dans les favelas. Sa pauvre mère en larmes, n’osa pas le suivre. Et le soir, quand il rentra, il était différent. Il grandit alors en pensant que son père était parti de la maison, pour échapper aux forces de polices. Un jour, il sortait de l’école et rentrait chez lui.

Maintenant, il avait dix ans. Et trouva sa mère par terre, évanoui. Son premier réflexe fut de crier aux secours. Sa grand –mère, qui était également sa voisine, accourut. Elle demanda au petit ce qu’il s’était passé, et emmena sa mère à l’hôpital. Ils apprirent par la suite qu’elle avait été agressée, et que ses blessures s’aggravaient, ayant réveillé chez elle une maladie inconnue et orpheline. Alors que les médecins allaient l’enfoncer dans un puissant coma artificiel, elle demanda à voir Michael. Alors qu’ils discutaient calmement de ce qu’il allait advenir de lui, Michael demanda à sa mère si son père allait revenir. « Je voulais que tu sache la vérité, mon fils, avant de plus jamais pouvoir l’entendre. Ton père est mort. Et par ma faute, tu seras orphelin. » Elle se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. « Non, maman ! Je vais te soigner ! Je vais trouver plein d’argent ! Tellement d’argent que quand tu te réveilleras, tu seras dans la maison. » Les médecins entrèrent dans la chambre et leurs annoncèrent que le temps était écoulé, et qu’ils devaient s’en aller. Ils sortirent sans faire d’histoire. Et Michael consacra les cinq années qui suivirent à rechercher celui qui avait détruit la vie de sa mère, et à récolter de l’argent, en pratiquant bon nombre d’activité plus ou moins légal.

Il était avec sa petite amie, à quinze ans, en train de graver son nom dans l’écorce d’un arbre avec son couteau de combat, qu’il utilisait d’habitude dans les combats auxquels il participait, chaque fin de semaine. Ce sont ces combats qui lui apportait l’argent dont il avait besoin pour payer les soin pour sa mère. Il vivait chez sa petite amie depuis la mort de sa grand-mère, il y’a quelques mois. Il appartenait maintenant à un groupuscule d’anarchiste manifestant pacifiste qui cherchait à atteindre le gouvernement. Une fin de semaine, il se rendit aux combats de d’habitude, il entra dans la salle et monta sur le ring. Son adversaire, un grand type baraqué, se battait avec une grande lame. Il Esquiva la plupart des attaques, mais réussi à atteindre le bras gauche de son adversaire, et à la plaquer à terre, avant de le rouer de coups. Il quitta la salle, une douleur intense au niveau des côtes, et remarqua un type qui lui fit un signe laissant comprendre qu’il n’avait pas apprécié le coup de Michael. Trois jours après, il commença à faire de plus amples recherches sur le type qui avait agressé sa mère, et trouva le nom d’un certain Pedro Miguel, en interrogeant le voisinage. Il essuya la lame de son couteau, et commença à marcher jusqu’à l’endroit qu’on lui avait dit être son lieu de domicile. « Pedro Miguel ! » L’individu était couché avec une fille à son côté, sûrement une prostituée. Le type tourna la tête et Michael reconnut le type de l’autre soir. « C’est quoi, ton problème, minus. Tu veux que je t’apprenne, à rentrer chez moi quand je teste mon matériel ? » Michael sortit son couteau de combat. « Pourquoi tu as agressé Maria Moralez ? » Le type le regarda dans les yeux. « Mais je te reconnais, toi ! T’es l’enculé qui a envoyé mon combattant à l’hôpital ! » Michael s’emporta. C’en était trop, que ce type se permette de lui répondre comme ça avait fait déborder sa coupe. « Et toi, t’es le fils de pute qui a envoyé ma mère à l’hôpital ! » Il avança d’un pas décidé, et frappa son adversaire à plusieurs reprises. Il prit de nombreux coups, mais il plaqua Pedro à terre, et plaça son couteau juste au niveau de sa gorge. « Pourquoi tu as envoyé ma mère à l’hôpital, connard ? » Le type répondit, presque aussitôt que Michael avait rapproché son couteau. « Calme-toi, petit gars ! Je ne voulais pas, mais elle m’a obligé. Elle a refusé de travailler pour moi, et ici, c’est moi, le patron. » Michael s’emporta et regarda le type dans les yeux. «Maintenant, tu vas me payer pour ce que tu as fait ! » Sur ces mots, il enfonça son couteau dans la chair de celui-ci, et roua le type de coups, alors qu’il mourait lentement, se vidant de son sang au sol. La fille, toujours là, observait la scène, effrayée. Michael arrêta de passer ses nerfs sur le corps inanimé de Pedro, et jeta un regard à la prostituée. « Toi, rhabille-toi. Cache le corps, et tire-toi. » Il fouilla les meubles présents, et récupéra tout l’argent que pouvait posséder Pedro.

Maintenant, il a vingt ans, et est toujours membre de son groupe d’anarchiste. Un jour, qu’il se rend à l’hôpital voir sa mère, on lui annonce qu’elle mourra si on ne l’opère pas immédiatement. Il sortit en larme, et se rendit dans un magasin où il ordonna couteau en main à un type de payer l’opération de sa mère. Il fut poursuivi par la police dans la favela, mais il les sema, et se cacha. Il fut trouvé en un quart d’heure, et emmené au poste. Il fut alors enfermé pendant plusieurs jours. En se promenant dans la cour, il tomba sur un gardien distribuant des tracts pour l'UNSC. Il parait que tous était éligible, et qu'ils effaçait le casier judiciaire. Un représentant de l’UNSC apparut une semaine après. Il fut conduit dans la salle des visites. « Vous me voulez quoi ? » Le représentant de l’UNSC le regardait dans les yeux. « Je veux que toi, tu signes ces documents, à moins que je ne trouve un autre gars enfermé ici, aussi intéressant que toi, et qu’on ne peut condamner que pour vol. » Michael soupira. « J’y gagne quoi ? » « Tu gagnes l’argent nécessaire à l’opération de ta mère, et de quoi te barrer des favelas. » « Vous paierez l’opération ? » « Je peux lui offrir mieux que cet hôpital en ruine minable. » « J’accepte ton deal, si tu t’occupes de ma mère et de ma sortie de ce trou. » Il rit. « T’as plus qu’à signer, et je m’occupe de modifier ton casier judiciaire. » Michael signa le document que lui tendait l’agent de l’UNSC. « Maintenant, tu viens avec moi. »

Quelques jours à peine plus tard, Michael était un marines, dans une escouade sous les ordres du sergent Elena Lincoln. Il subissait sans cesse le harcèlement des autres gars, et la seule personne à les faire taire, c’était le sergent. Elle avait subi le même traitement, à ses débuts. Des remarques sexistes, elle s’en était pris plein la gueule. Elle ne voulait pas de ces conneries sous ses ordres. Elle ne lui parlait pas. Elle se contenta d’observer son comportement, jusqu’au jour où il se battit avec un autre marines, dans les vestiaires de la salle d’entrainement. Le gars était ressortit de tout ça la gueule en sang, et le nez cassé. Michael était ressortit de la salle, plutôt calme, et croisa Elena. « Ça te vaudrait la cour martial, si j’étais un mauvais sergent. » Il sourit. « Parce que les militaires peuvent être bon ? » « On es là pour protéger les civils, pas pour tuer des innocents. » « C’est vous qui l’dites. » « T’es plutôt bizarre, pour un mec qui s’est engagé. » Il baissa les yeux. « Je me suis pas engagé. Je fais partie du programme de réinsertion par la voie militaire. » « Pour quel raison t’es ici ? » « J’ai braqué un mec pour qu’il me donne l’argent dont j’ai besoin pour sortir ma mère de l’hôpital. » Elle ne continua pas. Elle avait compris comment c’était arrivé. Elle tourna les talons, et s’éloigna. Ils passèrent beaucoup de temps ensemble. Ils se rapprochèrent beaucoup aussi. Et de missions en missions, de jours en jours, ils tombèrent amoureux l’un de l’autre. Michael a vingt et un an, ça fait un an qu’il est chez les marines. Alors qu’ils menaient un assaut sur un poste avancé rebelle, Elena partit seule en éclaireuse à l’est, pendant que Michael et un autre gars fouillaient le nord et le sud. Ils entendirent un hurlement. Une voix féminine. Michael courut jusqu’à la position d’Elena indiqué par son radar, et trouva deux rebelles. Il resta caché, et tira une balle dans la tête de l’un des deux avant de torturer l’autre, de le rouer de coups. A la fin de l’opération, il rentra sur terre, passa quelques jours en permission forcé, alors que ses supérieurs réfléchissaient à ce qu’il allait advenir de lui. On décida de l'envoyer chez les Forces Spéciales. Il se débrouilla comme un chef aux entrainements, et partit en opération un mois après. Il passa encore un an encore à y travailler, avant d’être redirigé vers les ODSTs. Un an et demi plus tard, c'est un ODST confirmé, rompu à l'art du combat, et passé maitre dans bons nombres d'arts martiaux, ainsi que dans le maniement des armes.

Profil Psychologique :
Je suis le commandant [CENSURE], je suis ici pour vous parler du soldat Michael Moralez, et vous renseignez sur les raisons qui me poussent à vous le recommander pour rejoindre le corps armée des Helljumpers. *Toux bruyante.* Saloperie de clope… Bref… Disons simplement que Michael obéira aux ordres qu’on lui donnera. Pourquoi ? Parce que, contrairement à ses débuts, ici, il ne lui reste plus qu’une chose à perdre. Son lien avec sa mère. Il ne veut plus la perdre. Ni perdre personne. Il n’a rien d’autre à perdre que sa mère. Il pourrait mourir pour nous, si on le lui demandait. Il fut un temps où il était anarchiste, vous savez, comme certains de ces groupuscules rebelles d’extrême gauche, qui lutte pour la « Liberté et l’Egalité », un ramassis de connerie, en somme… Je voulais vous dire que ce type ne désobéira pas à un ordre direct. Il est encore un peu perturbé par la perte de son ancienne fiancée, mais il va vite récupérer, et c’est le meilleur homme que j’ai eu à mon service, ces cinq dernières années. Il est calme, ne parle à personne, sauf à Lionel, mais il n’est pas prêt à le revoir. *Un soupir bruyant* Je ne voulais pas que ça se finisse comme ça, contrairement à ce qu’il peut croire. Quand il sera transféré, dites-lui que ce n’est pas ça que je voulais. Je sais qu’il ne dialoguera plus avec aucune autre personne. Il a de gros problèmes sur le plan relationnel. Je peux vous garantir que j’ai eu du mal à lui parler. *Un rire léger.* Enfin, après cette tragédie sur [CENSURE], il ne sera plus jamais le même. Enfin, ainsi va la vie… Il n’a aucun mal à tuer quelqu’un pendant une opération, mais chacune des opérations qu’il mène le hante. Jour et nuit. Il lui arrive de parler, de sourire, mais faudra le mettre en confiance avant. Et ça, vous aurez du mal. Il est calme, et aime le calme, le silence. C’est pour ça qu’il a choisi le close quarter et l’infiltration. Il est capable de faire exploser un avant-poste rebelle en trois quart d’heure, avec un tireur d’élite camouflé pour le protéger, et lui fournir les informations essentiel à son évolution dans la base. *Rire.* Je crois que je ne suis pas prêt de revoir un seul de ses feux d’artifices. Michael a des légers soucis au niveau de la communication. Je veux dire, il peut commencer une phrase, et ne pas la finir, ou tout simplement, ne pas répondre. Il peut ne même pas regarder quelqu’un qui lui parle. Mais, comme dit plus haut, il obéit aux ordres. Et un autre avantage, c’est que s’il désobéit, on pourra utiliser l’excuse de son déséquilibre mental pour discréditer ceux qui le soutiendront, et le tuer en secret pour fournir son identité à un spectre. Vous pouvez arrêter l’enregistrement.

Joli copier/coller qui est agréable à lire.
J'aime le RP *_*

Sexe : Masculin
Taille : 2,10 m
Poids : 120 kg
Affiliation : UNSC, Spartans, Escouade Tactical
Numéro de service : S-144
Classe : Spartan IV
Batailles : 
Bataille de Reach
Bataille de Requiem

Law-144 bienvenue dans les rangs !

AsTeR ReCoN a écrit:Je suis un Spartan III

Comment pouvez-vous être un Spartan III alors que votre Matricule de service est un matricule de Spartan II ?

Ça peut être sympa. Surtout, si tu proposes une histoire, des parties thématiques.
Si tu as le courage, tu pourrais donc inventer un scénario assez simple, marqué de batailles bien particulières (inventées) que tu proposes en partie personnalisées (les parties où l'on gagne de l'xp).

Pour bien me faire comprendre, un exemple :

Inventer une suite de batailles sur Reach. La première, dans la base sword de l'ONI, où le but serai de repousser une attaque ennemie (un groupe de spartan rebelles opposés à l'UNSC, une faction dissidente). Imaginons que tu utilise le mode de jeu invasion et qu'il y est un module à voler. Suite à la partie perso., si l'équipe de spartans rebelles volent le modules et bien tu créés une deuxième partie où là la mission serait de récupérer le module volé par les spartans de la base SWORD (côté UNSC). Sinon, tu peux imaginer une autre bataille où cette même faction rebelles essaye de prendre un autre objectif à l'UNSC sur une autre base. Tu pourrais faire un BTB où tu déciderais que l'UNSC attaque la base rebelle fortifiée sur Hemoredge, pour anéantir cette faction rebelle qui a attaqué la base SWORD et suivant le score du BTT, décider si la base rebelle est détruire ou a résisté. Et ainsi de suite...

Cela créé une histoire évolutive avec des missions en assassins, BTB, objectives.
Bien sûr, cela demanderait sans doute de forger quelques maps de temps à autre ou de reprendre des maps forgés de la communauté HaloQG et d'écrire un scénario adapté.

Et tu enverrais les briefings de mission à chaque équipe constitué (par message privé sur HaloQG, dans un sujet spécifique ou sur un site que tu aurais créé pour l'occasion).

Je tien a préciser que nous sommes des spartans 4.
La pre alpha sers a tester les fondement de HaloRP.
Plus tard est prevu effectivement un systeme de faction et d'une carte geante divisé en plusieurs petite map

Leader Rouge, compagnon de la Tactical Team, ça faisait longtemps ! Notre dernière rencontre étais sur Reach et je pensait que tu étais mort, malheureusement j'appris que la Team Noble, India, et Roméo avait était éliminé... Triste nouvel.

J'ai un matricule de Spartan III

Ex : Carter-A259, Emile-A239, Jun-A266 (Vous pouvez vérifier sur WikiHalo).

"Le nom de code des Spartans-III est similaire à celui des Spartans-II : leur prénom est séparé de leur numéro d'enrôlement par un tiret, à la différence que la lettre correspondant à leur compagnie (A pour Alpha, B pour Beta et G pour Gamma) précède le numéro des Spartans-III."